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 Et les rêves ne se réalisent pas et la chandelle devient cendres * ○ Kotoha [encours]

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Kotoha Gensei
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Kotoha Gensei

Niv. : 0 - Étudiant commencement


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MessageSujet: Et les rêves ne se réalisent pas et la chandelle devient cendres * ○ Kotoha [encours]   Et les rêves ne se réalisent pas et la chandelle devient cendres *  ○ Kotoha  [encours] Icon_minitimeJeu 10 Sep - 12:26

Et les rêves ne se réalisent pas et la chandelle devient cendres *  ○ Kotoha  [encours] 382266ficheKotoha
Prénom et Nom*: Kotoha Gensei (言刃 元聖) née Goda
Âge*: 32 ans
Village/Pays d'origine*: elle est originaire de Ame au pays de la pluie.
Village/Pays actuel*: Kirigakure no sato au pays de l'eau
Clan/Organisation: Propriétaire de " La Maison des Lys" une maison clause qui est en réalité un refuge à déserteur et un marché noir des armes et des informations.
Spécialité*: Ninjutsu - iroujutsu
Affinité élémentaire*: Shoton
Rang*: ex-cheftaine d'une unité de l'Anbu (spécialisée dans la désinformation) actuellement Civile
But: En vérité Kotoha sert ses propres intérêts et la paix est mauvaises pour les affaires; elle agis donc seulement de manière à avoir toujours du travail.
Nindô: cela fait bien longtemps qu'elle n'en à plus  mais autrefois elle pensait " Pas de mauvais ninja  seulement des mauvais chefs"

Histoire de sa vie*:

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« Le vent avait fait crisser le bois de la bâtisse précaire. C'était à se demander comment elle pouvait encore tenir debout. C'était pourtant bel et bien là et il y avait quelque chose de si dramatiquement intemporel dans cette vieille cabane qu'on avais du mal à croire qu'elle ne serait un jour plus en lieux et place. C'est dans cette bicoque insalubre et moite que j'ai rencontré Shibata-san pour la première fois. C'était un homme bourru et avec très peu de manières, mais il était polit. C'est lui qui me parla pour la première fois d'Okami-san. Il pouvait sembler totalement paranoïaque avec cette idée que quelqu'un lui voulait du mal au point de se reclure dans les tréfonds du pays des marécages, mais je peu témoigner sur l'honneur qu'il avait des raisons plus que conséquentes.

« Okami-san » comme il l’appelait, semblait être une de ces chimères à mille têtes sortie de nulles parts un beau jour il y à maintenant près de cinq ans.  Un démon sans visage. Shibata, Anbu de Ame l'avait rencontrée bien des années plutôt alors qu'elle était encore une Kunoichi – talentueuse – de parents Amejin. À ce propos il restait perplexe.

« Je ne sais pas ce qui à merdé dans sa vie. C'était une bonne petite, elle avait toujours de bon résultats à l'école et sa mère , ah sa mère c'est une chic femme, savez ? Bien comme il faut, et elle l'a bien élevée sa petite. Elle lui à appris la musique, la danse et je me souviens que gamine elle connaissait si bien ses classiques qu'on se demandais ce qu'elle pouvais foutre chez les ninja. Son père aussi c'était un type bien, un peu réfractaire à l'autorité mais très responsable.  Vraiment, je ne sais pas à quel moment elle à mal tourné. »

Ce n'était qu'à sa désertion qu'il avait commencé à se méfier de la jeune femme. Parce jamais il n'avait imaginé qu'elle aurait été capable de faire quelque chose de ce genre. Pour tout dire d'après lui dans le village peux de gens savaient qu'elle était un ninja.  Bien trop propre sur elle, trop polie et maniérée.  Elle avait intégré un groupe de terroristes indépendantistes Amejin l'année de ses dix-huit ans et avait multiplié les rixes contre représentants de l'autorité du village en toute impunité. Elle était assez douée pour maquiller ses crimes néanmoins elle s'était trahie un an plus tard et plutôt de que d'accepter ses responsabilités elle s'était dressée contre le village tout entier et s'en était allée avec fracas après avoir mis à mort ses camarades du groupuscule.

On les avait retrouvé deux jours après seulement, comme un cadeau de départ. Et puis elle avait totalement disparu de la circulation. Elle avait été recherchée à travers tout le pays et même aux frontières mais rien qui ne correspondait à sa description ou son mode opératoire ne fut rapporté et on en déduit qu'elle était morte.  Trois mois après sa disparition un groupe d'Oinin avait fait la découverte d'un corps atrocement mutilé portant ses vêtements et son bandeau ce qui avait totalement étayé cette théorie. Son cadavre avait été incinéré et on était jamais revenu sur l'affaire.

Dix ans plus tard, lors d'une mission aux frontières du Pays de l'eau, Shibata-san avait pourtant juré qu'il avait reconnu cette diablesse. Et elle avait su qu'il savait. Un coup monté et comment elle avait elle même mutilé le corps d'une femme qui lui ressemblait pour se faire passer pour morte et se débarrasser de toute poursuite.

« Je ne suis pas tout blanc, j'ai des choses à me reprocher dans  la mort de son père. C'est pour ça que je sais que cette femme me retrouvera. Elle n'as plus rien à perdre maintenant. Rien du tout. »

Après avoir passé dix ans dans l'ombre « Okami-san » était née. Désormais à la tête dune maison de Plaisir au Pays de Yu. Une de ces maison ou les femmes semblent trop belles pour exister vraiment et ou l'ambiance est trop détendue pour être honnête. Shibata-san avait mis la main sur l'un plus gros trafique d'informations et de poisons du continent. Et Goda  Kotoha n'était pas le genre qui rigolait avec les règles qu'elle avait instaurées.  Elle l'avait traqué sans relâche.  

Deux mois après notre rencontre, elle l'avait retrouvé et exécuté.
Alors j'ai commencé à chercher d'autres témoignages de sa vie. Parce qu'elle est de ces créatures qu'on croise rarement, irréelles et sournoises comme des démons mais qui ont tellement de choses à raconter. Une créature d'entre deux mondes qui sais si bien se tapir dans l'ombre qu'on en oublie qu'elle est redoutable.

Me dirigeant vers les terres d'Ame, je pense à Shibata-san. [...] »
Extrait des « Carnets de voyages » de K. Ojirou, Conteur populaire.


I
Comme l'eau qui coule inéluctablement vers le bas , Kotoha était née de deux parents. Le contexte politique n'était peut-être pas le plus avantageux qui soit, mais elle n'avait pas à se plaindre.  Sa famille n'était sans doutes pas aussi riche que celle de la petite Ayumu née la même année dans le quartier d'à côté, mais elle était sans nulles doutes mieux lotie que Kaoru né un an plus tôt mais dont les parents tout deux ninja de bas rang se complaisaient dans une sorte d'éternelle pauvreté. Vraiment. Et d'ailleurs aussi loin que mémoire se peu , elle n'avait jamais manqué de rien. Sans être née dans l'or et la soie.  

Masahiro , son père, était un Anbu particulièrement compétant et si il n'avait jamais pris de masque pour parler de sa position quant à la politique menée , c'était un père attentionné et un Ninja de renom. C'était d'ailleurs de lui sans doutes qu'elle avait hérité son don naturel pour le Shôton. Il était sans doutes un un peu strict dans sa façon de dispensés ses conseils et ses réprimandes mais c'était par affection et , il ne se serai sans doutes jamais opposé à ce que sa fille ne su ive pas sa voix sur le chemin du Shinobi.

Chigusa, sa mère, était née à Ame de parents Kumojin installés là depuis vingt ans. Elle n'avait pas suivit une école d'arme et n'avait été entraînée qu'à titre récréatif par ses parents avant de se diriger vers les arts de la peinture ou la musique traditionnelle. C'était une femme lettrée et naturellement pacifique.  Belle comme un cœur et elle avait fait tourner bien des têtes avant d'épouser Masahiro. C'était une force tranquille, tout en délicatesse et en esprit. Et c'était une bonne mère. Elle éveilla au plaisir de la poésie et de la musique, de la danse traditionnelle , aux meilleures manières qui soient pour faire d'elle une parfaite petite femme japonaise.

Naturellement c’eût été un gâchis complet de ne pas laisser la gamine intégrer l'académie lorsqu'elle le demanda. C'était l'occasion de créer un genre de Kunoichi idéal, douce, d'apparence innocente , mais sournoise et dangereuse. Volontairement séductrice et capable de vous faire baisser votre garde.  Kotoha intégra les rangs de l'académie à l'age de six ans et demi  et honnêtement elle y brilla par sa capacité effroyable à passer totalement inaperçue.  Elle présenta des résultats tout juste acceptable jusqu'à sa dernière année et s'éveilla totalement lors des examens de promotion au rang de Genin. Elle avait alors neuf ans.  Et pour tout ceux – même les professeurs – qui l'avaient côtoyée jusque là ce fut comme un coup de matraque dans les côtes, forcé d'admettre que la petite s'était toujours faite plus bête et moins efficace qu'elle l'était dans la seule intention de gagner en effets de surprise lors des examens de fin de cycle.

De reste elle avait toujours donné l'impression d'être une gamine heureuse, parfaitement intégrée et intègre. Équilibrée. Elle avait intégré l'équipe 8 sous la supervision d'un Chunin  du nom de Kondô et entama ce qui semblait être une franche camaraderie avec  Hijiri Souta et Tanaka Kou respectivement neuf et dix ans.  Un groupe dans l'ensemble plutôt hétérogène mais qui s'équilibrait avec une perfection qui frôlait le ridicule.  De reste ils se bornèrent à être dans la stricte moyenne des Shinobis du village. On ne murmura jamais à propos de Kotoha qu'elle était un génie comme avait pu l'être son père, bien au contraire.  L’opinion publique était plutôt mitigée à son propos seuls les quelques privilégiés qui la côtoyaient d'assez près arrivaient à se faire une vague idée du genre de menace qu'elle pouvait bien représenter.

Elle passa l'épreuve de nomination des Chuunin à l'âge de douze ans avec une facilité qui laissa perplexe bien des gens, ses équipiers compris qui restèrent d'ailleurs derrière un long moment. Une fois de plus elle laissa l'impression d'une personne purement quelconque dont les plus hauts gradés se désintéressaient totalement. Elle avait ses petits vices , mais faisait toujours très bien son travail et proprement en plus. Un dossier sans tâche mais somme toutes parfaitement ordinaire. On ne trouvait pas de raison de la brimer mais il n'y en avait pas vraiment de la louer ou de lui accorder plus d'attention qu'à n'importe qui d'autre.

Cependant, elle fit très rapidement preuve d'un talent inégalable pour l'infiltration et la récolte d'informations et se spécialisa très vite dans ce genre de procédés quelques peu sournois et controversés. Ses capacités naturelle la prédestinaient pourtant à faire de grandes chose à devenir une arme de longue portée plutôt que de poing mais elle ne voulait rien entendre et se borner à se montrer ouvertement désastreuse lorsqu'on tentait de la contraindre à sortir du chemin qu'elle s'était approprié.

Par la suite elle fut nommée Juunin à l'âge de 15 ans, nomination qu'elle n’accueillis pas avec autant de fierté qu'elle aurait du. Elle multiplia les missions et ses aptitudes en fit la partenaire attitrée de Sawayaka Genbu de trois ans son aîné. Elle ne pouvait sans doutes pas se douter du fait que l'évolution de leur relation la pousserai à de telles extrémités et lui n'avait sans doutes jamais envisager que la jeune femme puisse se retourner contre lui.

Deux ans après sa nomination au poste de Juunin, son père, Goda Masahiro, fut laissé pour mort au cours d'une mission. Une enquête interne tendis à prouver qu'il avait été envoyé volontairement au suicide par ses équipiers. L'un d'entre eux étant un proche du kage l'affaire fut radicalement étouffée avant que trop de gens n'en aient vent. Et rien ne sembla changer dans le mode de fonctionnement de Kotoha.

Et pourtant.

II
Est-ce que c'était de la fragilité , ou bien juste un genre de désir irrémissiblement enfoui ? Personne ne serait jamais capable de dire ce qu'il en était réellement. Quoi qu'il en soit un peu moins de six mois après la perte tragique de son père, elle avait intégré « La faction ». Un groupuscule Terroriste indépendantiste et pour l'individualité de chaque ninja, qui se dressait contre l'autorité du dictateur et dont Genbu était l'un des membres les plus éminents.

Elle s'y fit rapidement une place. C'était sans doutes un peu en hommage à son paternel quelque part qu'elle avait décidé de se mêler à ce jeu sordide. Elle ne nia jamais avoir eu parfaitement conscience des risque et des sacrifies qu'elle aurait à faire en les rejoignant. Jamais. Et elle n'en avait pas honte. Pourquoi aurait-elle du ? En parfaite âme et conscience.

Ils ciblèrent d'abord les membres les moins influents des forces du Kage avant de s'en prendre à quelques Juunin ou Anbu qui avaient clairement marqué leur soutient au dirigeant. Elle abattit de ses propres mains le professeur qui avait fait d'elle un Chunin en jugeant que ce dernier avait compris trop de choses à propos de leur organisation. Et si elle s'en sentit coupable elle ne changea pas sa voix. L'enquête de l'Anbu conclut à un tragique accident et on aborda plus le sujets.

Le nombre « d'accident » cependant commença à paraître suspecte et le Kage employa une milice privée dans le plus grand secret. Au printemps de l'année suivante, « La faction » fut infiltrée pas le Kage, sous le visage d'une jeune femme du nom de Komoro.

Komoro était une fille moins délicate que son unique consœur et comme elle apparaissait plutôt simplette on ne se méfiait pas d'elle. Et c'était une erreur.

Cependant rien ne changea drastiquement dans la vie de Kotoha. Elle était toujours ce qui semble être la parfaite définition du ninja lambda, efficace sans être particulièrement auréolé de gloire. Ses missions étaient toujours exécutée sans incidents majeurs et avec toute l'application attendue. Elles traînaient parfois trop en longueur mais il n'y avait rien qui aurait pu laisser entendre qu'elle avait rejoint un groupe aussi dangereux.

Elle avait été particulièrement calme aussi lorsqu'elle avait découvert le pot-aux-roses un jours en suivant Komoro. Et elle n'avait pas dis un seul mot lorsqu'elle avait retrouvé les autres. Non, Kotoha avait simplement réfléchis aux options qui s'offraient à elle.

Goda Kotoha venait tout juste d'avoir dix-neuf ans ans lorsqu'elle décida qu'elle devait simplement se débarrasser de tout les autres membres du groupe.  Ils était dix et elle les avait pris en embuscade, un par un, au moment ou ils ne se méfiaient pas d'elle. Komoro avait été différente, sur la défensive à l'instant ou elle avait compris que sa camarade avait fait tout son possible pour que leur rencontre se face seule à seule dans une petite ruelle de Ame ; une venelle crasseuse ou personne ne passait jamais. Avant qu'elle n'aie eu le temps de préparer quelque plan d'esquive que ce soit Kotoha lui avait tranché l'aorte avec un scalpel de chakra.  Et puis elle avait laissé les corps tels quels , éparses et dans des lieux ou il aurait été difficile de les retrouver immédiatement.

Toutefois le mal avait été fait et même si théoriquement on ne pouvait pas prouver qu'elle avait bien commit ces assassinas, il n'en était pas moins que Komoro l'avait déjà vendue et qu'on ne manquerai pas de venir la chercher sous peu. Alors elle jugea qu'elle devait attaquer en premier. Retournant chez elle , elle avait préparé avec soin ce qui lui serai nécessaire sur le court terme, embrassé sa mère et déclenché un incendie sur la grande place du village pour créer une diversion. Elle avait dus se débarrasser des gardes à la porte et puis elle s'était enfoncée dans la forêt sans un regard derrière elle.

Kotoha avait su faire profil bas à la perfection et erra de village en village, se mêlant aux civils pendant plusieurs mois. Au bout du troisième elle fit la rencontre d'une jeune femme qui lui ressemblait assez étrangement pour que la supercherie marche sans trop d'efforts. Elle avait sus trouver les mots pour la mettre en confiance. L'assassiner et mutiler son corps affin de rendre impossible toute identification avait été une tâche aisée. Il avait été plus dur en revanche de déplacer ce dernier discrètement pour le placer stratégiquement sur le chemin des troupes Amejin qui la cherchaient. Et puis elle avait totalement débarrassé le planché.

Elle avait erré jusqu'au pays du vent, s'était infiltrée un moment jusqu'au limites du village d'Iwa grappillant ci et là des informations pratiques pour sa vie future. Elle avait toujours aimé voyager.
 ▬ III ▬

Assise sous le porche du grand manoir Gensei Kotoha regardait pensivement les enfants du village jouer à la balle. Cette scène avait quelque chose de profondément déchirant. Quelque chose qu'elle ne pouvait pas expliquer.  Elle crispa sa main gauche contre son ventre. Vide. Naturellement qu'il était vide.  Avec le genre de vie qu'elle menait comment est-ce qu'elle avait pus croire, espérer , ne serai-ce qu'un instant quelle serai capable de donner la vie ? Alors qu'elle se targuait de pouvoir protéger le village tout entier elle avait été infichue de mettre en sécurité l'enfant qui grandissait dans son ventre.

Kotoha avait vingt-deux ans quand elle avait intégré les rangs de Kiri comme Juunin mais rapidement elle avait sus montrer qu'elle tenait sa place parmi l'élite du village.  Elle avait été intégrée à l'Anbu un an après son arrivée et c'était cette même année qu'elle avait fait la rencontre de Gensei Sasame. Un civil certes mais un homme influent dans le village. Il possédait de nombreuses boutiques du village et il était à la tête d'une grande rizière qui assurait beaucoup de la nourriture du pays.  C'était un homme riche même si rien n'en paraissait à la vue de ses vêtements ; il était lettré et il avait de bonnes manières. Quelque chose qui manquait à Kotoha qui vivait finalement dans un monde de shinobi par généalogie.  Elle avait finalement quelqu'un à qui parler de littérature, de musique, quelqu'un qui avait reçu l'éducation que sa mère avait tenu à lui transmettre. Et Sasame était la douceur dans un monde ou tout n'était que guerre et violence. Il reconnaissait son travail et il disait toujours combien elle était courageuse, combien elle était belle et importante et Kotoha l'avait aimé. Aimé.

Ils s'étaient mariés un an plus tard mais la vie en avait décidé autrement. Si elle avait été superstitieuse alors Kotoha aurait pensé que cette succession d’événement était sa punition pour toutes les mauvaises choses qu'elle avait faite dans sa vie.

Sasame était une si bonne personne pour elle. Et il avait une voix superbe. Il chantais souvent.  Elle adorait l'entendre.

« – Si un jour je perd cette belle voix, est-ce que tu m'aimera encore ? »

cela la faisait beaucoup rire. Bien sûr ! bien sûr répondait-elle . Comment les choses auraient-elles pu être autrement ? Ses grandes mains caressaient souvent ses cheveux. Elle trouvait qu'il avait des mains magnifiques. Elle se sentait minuscule entre ses bras.

« – si je venais à perdre ses jolies mains, est-ce que tu m'aimerai encore ? »

Bien sûr. Bien sûr.
Elle ne comprenait pas qu'il puisse s’inquiéter de ce genre de choses alors qu'elle était celle qui avait le moins à lui offrir.  

Elle était tombée enceinte.
Tout aurait dus être parfait.

Sasame tomba gravement malade. Au même moment elle avait été nommée cheftaine d'une escouade d'Anbu et envoyée plus souvent sur le terrain. Mais il avait besoin de surveillance, d'être veillé. Alors elle était devenue moins prudente parce que Kotoha ne voulais qu'une chose : rentrer pour se coucher dans le même lit que son époux. Son pauvre époux qui était si malade.

Elle n'arrivait même pas à se souvenir de comment les choses étaient arrivées mais c'était un accident. Une erreur stupide. Elle avait été traversée de part en part par un sabre. Les médecins de Kiri avaient fait des miracles sur elle mais ils n'avaient pas pu sauver son enfant. La mort dans l'âme elle était rentrée chez elle. Chez eux et Sasame ..oh , Sasame avait été formidable. Il avait dit que ce n'était pas sa faute qu'il ne lui en voulait pas et qu'elle ne devait pas s'en vouloir non plus !

Comme si elle avait pu.

« – Kotoha ? Rentre, tu va tomber malade. Ce n'est pas grave, chérie , des enfants nous en auront, je te le promet. »

La voix grave de Sasame avait raisonné à ses oreilles comme une superbe mélodie alors qu'il posait une couverture en laine sur ses épaules et prenait place à ses côtés.  Il toussait très fort. Tellement en fait qu'il expulsait du sang qui coulait dans ses poumons. Ça le rongeait.

« – Ne t'inquiète pas. Je deviendrais certainement un très vieux grand-père ! »

Mais Sasame n'avait jamais pu tenir sa promesse et d'enfants, jamais ils n'en eurent. Il décéda des suites de sa tuberculose à la fin de l'hiver cette année là , laissant à sa femme le soin de disposer de toute sa fortune.  

Après avoir enterré son mari à l'age de 27 ans Kotoha abandonna son bandeau de shinobi dans le bureau du Mizukage et renonça à son poste dans l'Anbu, déclarant qu'elle n'était pas prête encore à pardonner pour la mort de son enfant , le seul et unique qu'elle avait pu avoir de son époux.  Elle n'avait pas déserté non, pas cette fois. Kiri était après tout le seul lien qu'elle avait encore avec cette période heureuse de sa vie. C'était l'endroit ou son mari et son enfant reposaient. Elle avait obtenu légalement l'autorisation de quitter le village et de vivre en civile dans le pays.

Elle avait disparu dans la nature et pendant très longtemps on avait plus entendu parler d'elle. Plus ….

Même si les fils de la passion sont coupés,
les cœurs restent emmêlés
.

fallait-il qu'un jour elle revienne à ses premières amours.

IV
Matsuoka Tomoe n'avait jamais envisagé la possibilité que les choses tourneraient si mal pour lui. Et il n'aurais jamais cru non plus que le chef de leur petite bande ne l'entraîne dans une maison close du pays de l'eau en réponse à leur problème. Et pourtant c'était exactement ce qui était en train de ce produire. Une prostituée dans un kimono aux milles couleurs les entraînait dans les nombreux couloirs de la maison. Elle fit coulisser une porte qui donnait sur une petite pièce à peine éclairée et les laissa là.   Et le chef s'était tourné vers lui et ses deux autres camarades.

« – Soyez polit surtout. Ne parlez pas sans permission. »

Il les avait averti et quelques deux minutes plus tard le shoji avait coulissé une nouvelle fois pour laisser entrer une jeune femme dans un kimono tout de violets , de rouges et d'or. Il découvrait ouvertement ses épaules, ses pieds étaient nus et on  pouvait même admirer le bas de ses jambes. Impudique.  Son visage était à moitié dissimulé par un éventail aux motifs floraux mais il pu deviner qu'elle était sans nuls doutes possible une des plus belles femmes de la maison. Elle s’accroupit gracieusement  face au chef et s'engagea un combat visuel que l'homme s'apprêta d'écourter en s'inclinant profondément devant la petite créature qu'elle était.

« – Eh bien, auriez-vous perdu votre langue , Akifumi-danna ? »

Et il n'avait pas fallu longtemps à Tomoe pour comprendre qu'elle se moquait ouvertement d'eux.  Il fit un geste dans sa direction mais Akifumi l'en dissuada d'un regard.

« – Okami-san. Je suis venu demander asile. »
« – Combien? »
« – sept Anbu de Kumo. »

Elle sembla réfléchir un instant. Comme si elle analysait les risques encourut en comparaison au bénéfice qu'elle pouvait en tirer et sembla tomber d'accord avec elle même. Sa voix s'éleva dans la pièce.

« – Birei. Chibana. »

La porte coulissa encore pour laisser entrer deux autres jeunes femmes. Elles s'inclinèrent profondément devant leur maîtresse et celle-ci dispensa ses ordres et directives avant de leur demander de partir et de poser une nouvelle fois les yeux sur les nukenin. Elle attendait visiblement quelque chose et Akifumi s'empressa de le lui donner.

« – Je sais que tu cherche un homme pour protéger tes filles. Tu peu prendre Kondô-kun. C'est un bon élément. »

Et les garçon s'étaient regardé entre eux. Elle s'approcha et saisit dans une main ferme le visage de l'homme en question.  La tension ne semblait pas vouloir redescendre.

« – Est-ce que vous n'essaieriez pas de vous moquer de moi, Danna-sama? »

Il avait dégluti comme si il avait vraiment peur de ce petit bout de femme, et avait fini par céder. Izumi-san et une somme d'argent conséquente en échange du refuge et de la protection offerte par la tenancière.  Elle était partie sur un sourire sournois et une autre femme les avait amené dans une autre pièce encore engoncée dans un labyrinthe de couloir. Izumi-san avait été réquisitionné presque immédiatement et avait rejoint son nouveau poste.

Et puis Akifumi avait expliqué la vérité à propos de cet endroit.
Outre le fait que Kotoha, la gérante était véritablement dangereuse, il y avait le fait que cet endroit était sous la protection des plus grands criminels de leur époque. Un réseau d'informateurs au service du plus offrant. Un marché noir , une maison de passe, un refuge pour tout les déserteurs. Cette femme était sortie de nulles part, cinq ans plus tôt et avait monté cet endroit fait venir des filles de tout les pays du monde et monté cette drôle d'affaire. Les activités de l'endroit n'était connue que des initiés , et les règles ici étaient particulièrement strictes. Et on ne plaisantait pas avec. Des règles des protocoles à suivre afin de pouvoir rencontrer la tête du dragon.  De reste beaucoup de gens des civils comme des shinobis fréquentaient les lieux sans avoir la moindre idée du trafique qui se jouait sur leur yeux.

Un paradis empoisonné ou il ne fallait pas entrer si on avait peur de perdre son âme.

Description physique*:
« – T'es jamais que la fille à tout le monde, la putain, la fille de rien ! »

Tendu, furieux, il déversait sa colère les yeux rivés sur la femme qui se tenait debout , d'une nudité parfaite, au centre de la pièce. Superbe dans son impudeur. Son kimono de pourpre gisait à ses pieds comme le sang d'autant d'hommes qu'elle avait écrasé dans le passé.  Ou qu'elle écraserait dans le futur.  Kotoha était de ces femmes qui se savaient belles et qui le portaient sur elle. Elle rayonnait d'une telle assurance qu'il était difficile de ne pas se rendre compte de sa présence.

Elle était radieuse dans ses kimonos de soie et toute couverte d'or mais c'était comme ça, nue, qu'il la préférait.  La lumière tamisée jouait de reflets sur son teint laiteux. Elle avait une peau de perle, elle ne semblait pas avoir été déjà sujette à quelque mauvais traitement. On y  décelait rarement une cicatrice, et il était difficile en la regardant  de croire qu'elle avait bel et bien été un Shinobi. Une peau douce et parfumée, sucrée.

Il aimait contempler la courbe de sa gorge, ses petites épaules son dos peu large, le galbe incroyable de ses mollets , la façon dont son ventre était si clairement musclé , traces de toutes ses années dans les forces armées. Pas qu'il ait pu s'en douter de toutes les façons. Il y avait ses petits pieds, ses longues jambes ses hanches fines et ses bras tout en finesse terminé par des mains aux doigts d'une rare délicatesse. Toujours parfaitement manucurés. Kotoha avait un corps d'une souplesse remarquable mais le plus impressionnant restait sans doutes la force brute dont elle pouvait faire preuve. Il était difficilement croyable qu'une créature aussi frêle puisse dissimuler quelque part sous ses cinquante kilos autant de  résistance. Elle n'était pas bien grande , un mètre soixante-cinq tout au plus, mais c'était suffisant.

Dame nature ne lui avait pas offert des atours d'une incroyable opulente mais son corps était immanquablement féminin et dans les proportions les plus respectable qui soient.  Un monstre de raffinement et de grâce. Délicate dans sa façon de se mouvoir et dans sa façon de parler.  

Elle avait un visage fin, aristocratique et d'une redoutable symétrie, ses cheveux cendré de noir puis de blanc et de soie faits, l'encadraient avec une rare douceur lorsqu'ils n'étaient pas retenu par des peignes et des épingles en diverses coiffures d'une complexité à dormir debout quoique si propres au monde dans lequel elle opérait.  

Un nez droit, fin, court et ses lèvres peintes de rouges étaient justement pleines, son cou gracile, et ses yeux des perles d'un ocre pâle nervuré d'or tantôt tranchantes et glaciale comme les pôles, tantôt d'une étouffante chaleur comme des braises crépitant encore. Des yeux comme des cages, expressifs et fascinants, qui vous absorbaient et grignotaient quelques morceaux de votre chère âme.   Il y avait son sourire ravissant, éclatant de vie, de malice, de vice aussi.

Kotoha avait cette façon si profondément féline et prédatrice de se déplacer, de se mouvoir, sans le moindre bruit pas même un frottement de tissus, comme un fantôme dont les pieds ne touchaient même pas le sol. Et par dessus tout , il y avait sa voix.  Chaude, profonde. Une voix qui susurrait doucereusement, dangereusement. Peut-être un peu grave pour une femme de sa stature mais une voix qui envoûtait, endormant la méfiance de n'importe qui. Une voix qui tonnait comme tout les kamis lorsqu'elle s'emportait et qui raisonnait dans vos propres corps, elle s’insufflait insidieusement dans votre cerveau avec tout le fiel du monde lorsqu'elle vous menaçait.

Il y avait ce charisme écrasant qui empoisonnait toute une pièce lorsqu'elle décidait de s'imposait et cette capacitaire innée à exister aux yeux des autres. C'était une femme de pouvoir et tout dans sa façon d'être en témoignait.

Belle ; belle, délicieuse vipère.

« – Et toi ? Et toi t'es encore pire... »

elle le reversa d'un coup de pied et il s'empressa de l'embrasser oubliant sa colère précédente.

« – Parce toi, tu pleure toute les nuits pour que la putain que je suis pose les yeux sur toi. »
Psychologique (personnalité)*:

« La première chose qui m'as frappé chez Gensei Kotoha lorsque je l'ai rencontrée, c'est encore le fait qu'elle était calme. Par calme je veux pas dire qu'elle était lente ou impropre à tout émotion houleuse – les Kamis sont témoins que non ! – mais qu'elle était apaisée. Totalement en harmonie et en paix avec elle même. Comme un lac et ce fut l'espace d'un instant comme si les seules émotions que je voyais en elle n'étaient que le reflet de mes propres sentiments. Flegmatique comme si elle n'avait rien à se reprocher. Rien du tout et que sa vie n'avait été que douceur et sainteté. Elle était si calme à la vérité que j'ai complètement baissé ma garde, mes instincts se sont totalement endormis et c'est seulement après que j'ai réalisé que c'était une erreur qui aurait pu être fatale.  Kotoha était une femme terriblement intelligente – trop pour son propre bien – Calculatrice et manipulatrice et elle arrivait toujours à obtenir ce qu'elle désirait.  

A bien des égards, Kotoha était une femme détestable ou – tout du moins – en possédait le parfait attirail. Elle était le succube le plus  courtisé du continent. Maîtresse en ironie et en sarcasme, profondément  opposante à toute forme d'autorité ; grande critique des autres (même quand elle n'en prenait pas l'air) et réfuteuse des plus probantes évidences. Kotoha n'avait jamais tors, n'avais jamais rien à changer : elle n'avait pas à tenir de promesse. Elle ne devait jamais rien à personne, ni n'avait à prendre des responsabilités pour les autres se démettant d'ailleurs régulièrement des siennes propres. La culpabilité ? Elle s'en servait souvent , sur le plan affectif par exemple. Elle se jouait de l'amour et de l'amitié s'en postant en dehors de toute légitimité. Elle savait communiquer ses demandes clairement, en ordre mais savait si parfaitement les dissimuler que s'en était terrifiant.

Les gens ne devenaient presque jamais ses « Proches » l'attribut était bien trop mélioratif et d'ailleurs elle ne se laissait pas approcher. C'était une grande menteuse, traîtresse et malhonnête. Elle menaçait ouvertement et savait parfaitement faire preuve d'un outrageux chantage lorsqu'elle se sentait en danger. Elle dégageait ce genre d’aura entre malaise et oppression qui acculait les gens lorsqu'elle entrait dans la pièce. Charismatique et pernicieuse c'était une créature cruelle.

Sans pitié ni scrupules, transgressant les règles car se plaçant au dessus et ne les voyant pas s'appliquer à sa personne, elle affichait une assurance débordante et terrifiante et s'en servait pour écraser les autres.  Dans une constante posture de manipulation, prêchant le faux pour obtenir le vrai, utilisant les principes moraux des autres (car elle-même en était dénuée) pour obtenir ce qu'elle désirait. Elle ne tenait compte de rien en dehors d'elle-même : ni des droits, ni des lois, ni des désirs des autres. Lunatique, bipolaire, elle flattait souvent pour séduire  ( et dieu qu'elle était douée pour ça!) , ne s'occupant de vous que pour mieux vous trahir par la suite. Elle s'arrangeait pour malmener les personnes dans la culpabilité ou les difficultés et s'arrangeait  toujours finalement pour vous faire faire des choses que vous n'auriez sans doutes jamais faites de votre propre grès.

Et elle savait se faire oublier, disparaître et paraître si profondément inoffensive quelle obtenait toujours gain de cause , même auprès de ses victimes qui finissait presque immanquablement par lui pardonner. Elle en revanche possédait une rancune tenace. C'était une femme passionnée qui lorsque ça arrivait aimait sans compter. Autoritaire et despotique il existait une très faible cercle de personne à qui elle avait accordé son cœur et sa loyauté. Abusive dans sa façon de ressentir les émotions elle ne connaissait pas de juste milieux haïssant et aimant avec une intensité proche de la folie. Le reste des gens lui étant totalement indifférent.

C'était une maîtresse dans l'art d'infiltrer d'infiltrer les esprit , retournant les principes des gens contre eux pour mieux les briser et les utiliser. C'était une grande joueuse mais une horrible perdante passant facilement d'un extrême à l'autre. Redoutable stratège elle avait toujours un coup d'avance sur les gens qu'elle côtoyais prévoyant à l'avance une échappatoire à toutes les situations. Si elle n'était pas la personne la plus courageuse qui soit elle savait faire preuve de bravoure lorsqu'il était question de sauver sa peau ou d'assurer sa position, elle possédait néanmoins un talent manifeste pour s'extirper des pires situations qui soient.

Mi femme – mi démon. »
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Kurohana Uchiha
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MessageSujet: Re: Et les rêves ne se réalisent pas et la chandelle devient cendres * ○ Kotoha [encours]   Et les rêves ne se réalisent pas et la chandelle devient cendres *  ○ Kotoha  [encours] Icon_minitimeVen 11 Sep - 9:21

Ton histoire est impressionnante je vais le lire dans mes temps libre XD tu est validé
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Et les rêves ne se réalisent pas et la chandelle devient cendres * ○ Kotoha [encours]
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