Raconte avec le samouraï

Wasaki détournait les yeux, il ne voulait pas voir la réaction de Kaguya à la révélation.

- Ta mère... Je me rappelle du jour où elle était venu lors d'un sommet. J'avais seulement 3 ou 4 ans, alors j'ignorais se qu'il se passait. Elle si était belle et resplendissante. Le genre de mère qu'on ne veut jamais voir pleurer ni décevoir. Elle était d'une gentillesse pure, je me rappelle de sa voix et même de ce qu'elle m'a dit « Sois toi même, même si tu es le cadet». Après cela, je voulais devenir plus fort pour qu'un jour, comme mon père, je pourrai être le chef des samouraï et devenir aussi le pilier neutre des nations. Rien n'est impossible, Kaguya. Même si ta vie fut difficile, ne te laisse pas cacher par ton ombres, sinon tu ne vaux pas mieux que ces Nukenins sans avenir. « Je suis Kaguya la purificatrice des ténèbres » Tu dois être aussi pure qu'elle, voir plus. Si tu as été victime d'une agression, c'est parce que tu étais fragile donc une proie... La vengeance mène à notre tombe... Kaguya, la justice est aveugle, tu ne peux pas décider de voir à sa place, tu risque de faire des victimes innocentes comme tu l'étais autrefois...

Wasaki prit son fameux sabre. Et quelque babioles, puis descendait ensuite les escaliers. Il se rendit près de Kaguya et la regarda maintenant dans les yeux plus que tout à l'heure.

- Tu vaux mieux que ces bon à rien qui ne souhaite que le Chaos et le pouvoir.Ils cherchent des réponses à des questions qui n'existe même pas! Ce n'est pas les ténèbres qui rendent plus fort, mais les liens qui nous unis à nos coéquipiers. Tel est l'un des crédos des Samouraïs, nous sommes peut-être l'arme d'un pays, mais nous sommes aussi la force et l'union qui fait que ce même pays est fort. Le l'amour et la confiance font qu'on peut avancer sans craindre de tomber. Si les autres et Mon seigneur l'auraient compris, il ne serai pas mort. Ces bandits n'auront jamais une fin heureuse...

- Je vais t'y accompagner, je serai celui qui te guidera la vrai voix de la lumière, comme ta mère l'a fait pour moi.

Wasaki était maintenant dans les bras de la jeune femme. Elle avait l'air bien secouée, mais de tout façon, elle l'aurait su bien rapidement un jour ou l'autre. Elle ne pouvait pas rester éternellement une Nukenin. Wasaki posa sa main sur la chevelure de la femme avant de se libérer des bras de l'hôte de Nekomata. Son sabre en main, ce sabre qui ne quitte jamais, il marcha quelque mètre plus loin puis il se retourna vers la jeune femme. Il était souriant, il ne savait pas que cette rencontre pouvait être si chamboulé mais aussi ce terminé de façon si radieuse. Fallait seulement être un peu brutal pour briser son mur de pierre pour atteindre son coeur. Cette femme insécure pourrait bien un jour devenir une Kage aussi, ses crimes n'était pas trop grave non plus... C'était son démon. Wasaki se rendit maintenant vers la porte, mais dit au même moment se qu'il avait à dire à Kaguya.

- Tu n'as pas à me remercier, je veux juste te montrer le chemin à suivre. Tu veux apprendre à contrôler ton démon ? cela ne sera pas facile, des mois d'entraînement t'attend. Contrôler un démon n'est pas un jeu d'enfant. Tu peux aussi y laisser ta vie, mais pour le moment, bien sur, tu t’entraînera pour ce jour que tu attendra toute ta vie.

Wasaki avait son sabre dans son étui. Il tenait la porte pour sortir lui aussi de la base des samouraï. Après avoir répondu au chat, la porte se reforma derrière eux. Il vit le chat retourner à sa maîtresse pour se faire consoler. Il faisait quand même un peu froid dehors, alors que Wasaki regardait la jeune femme tatoué sur son bras gauche. Tigré, c'était son sceau. La marche fut silencieuse par la suite des remerciements de Kaguya. Leur pas s'enfonçait doucement dans la neige ou et derrière eux, il n'avait aucun raison d'avoir peur de se perdre. Wasaki regardait un peux partout, les alentour du territoire de la base des samouraïs. Ensuite, son regard se posa sur la jeune femme au cheveux noir et bleu. Il observait la démarche et les cuisses à découvert de la jeune femme et même l'une de ses fesses. Son étui, avec sa lame à l'intérieur, se balançait selon la marche du samouraï. Le jeune duo étaient maintenant dans la forêt non loin de la base, mais c'était tout de même un bon début. Il y avait beaucoup de marche encore, allant même à quelques jours. Le yeux de Wasaki qui regardait les arbres remplit de neige, d'une beauté probablement sans égal, se posait maintenant encore une fois sur Kaguya. Son fourreau alla sous la partie avant de sa robe pour la tasser, dévoilant ainsi l'intimité de Kaguya et probablement la chatouiller, ensuite, il l'a pénétra avec son fourreau... Après ses déclaration, Wasaki était septique...

- Euh... Honnêtement, jeune femme, je ne vous suis plus. Pourquoi ne portez-vous pas de dessous, alors que vous me parlez d'agression. J'avais des doutes, qui sont maintenant confirmés. Vous n'avez pas froid dans cette région ? Et si puis-je me le permettre, vous deviez aussi remonter votre décolleté, je peux voir votre... Auréole...

Wasaki posa sa main sur l'épaule de la Jinchuuriki. Douce, et belle son épaule tout autant. Ses marques tigrés rendaient son bras unique. Sa main descendit maintenant près du sein droit de Kaguya. Le samouraï voyait bien le demi cercle brun qui dépassait du décolleté de la jeune femme. De plus qu'elle ne portait pas de petite culotte, son intimité était fabuleux. Du bout des doigts, il caressait le sein de Kaguya et fit baisser son bustier pour sortir le sein.
Ce sein était si beau et si gros... De plus que son mamelons... Cette femme était bonne à baiser. Wasaki sorti maintenant son imposant membre viril.

- Avec ça, je serai plus gentils.

Avant qu'elle ne puisse dire quoi que ce soit, Wasaki saisit Kaguya par ses hanches et la plaqua contre un arbre. Son imposant pénis pénétra l'étroit vagin de la Jinchuuriki. Si confortable, il poussa à l'intérieure.

Mon engin était maintenant dans le vagin de la jeune femme. Elle disait aimer se promener sans petite culotte. À entendre ses sons, leur voyage allait être remplit de plaisir. Sa chatte était si confortable. C'était dure à croire qu'un Nukenin comme Kurohana l'avait pour lui seul. Je continue à pousser dans son antre intime et humide à l'aide de mon engin imposant. Mes mains tripotant ses fesses, si moelleux. Kaguya était vraiment bonne. Mon bassin frappait le pubis que Kaguya semblait raser régulièrement. Voyant énorme seins se balancer, je ne peux que bander plus. Après quelque va et viens, je sort mon pénis de son vagin qui salivait au goût de ma bite. Avec mon gland, je caresser ses lèvres intimes. Ma main saisissant son énorme sein. Encore une fois, ce Kurohana possédait une copine avec l'un de ces corps. Et il ne la partageait pas.
Et encore une fois je pénètre le vagin de Kaguya. Sa chatte continuant de sucer ma bite, je pousse jusqu'à caresser son col. Je le sens... Ça va venir. En tripotant ses seins, je me rencontre à quel point son corps est sexy. Je l'agrippe par ses seins pour donner de puissants coup de bassin contre son pubis. Après ces puissants coups, j'éjacule mon sperme dans sa chatte. Je pense ne pas avoir éjaculer depuis des semaines... Je sort ensuite mon engin de son vagin et je met ensuite l'un de ses mamelon dans ma bouche

Triste à voir, une jeune femme en pleure, ses chaudes larme au péril de leurs vies glissaient le long de ses joues. Triste à voir, une jeune femme en détresse, ses cris de solitude au tourment de sa vie, étouffait son petit corps frêle. Triste à voir, tenter de se retrouver, dans un monde ténébreux, elle-même au péril de sa propre vie, elle se sentait comme une moins que rien, Triste à voir , au tourment d'elle-même, se voyant comme son propre ennemie. Fracassant son propre visage face à un étang d'eau. Ô No-no-no, Les ténèbres semblaient avoir effacé sa mémoire, Triste à voir, une jeune femme en pleur, les ténèbres semblaient avoir effacé sa mémoire, une jeune femme en pleure, Ô No-no-no.

Le monde n'est pas aussi safe qu'on le crois, le mal est partout, faut savoir à qui donner sa confiance. Seul quelque élus ont cette aura pure au coeur d'or aux yeux de diamant. Brillant comme une étoiles, anéantissant les ténèbres perforant la corruption. Le monde parfait n'existe te pas, Ô No-no-no... Le monde parfait n'existe pas, savoir à qui donner sa confiance, les contes de fées n'existe pas. Dans une quête perpétuelle.

Femme en pleure, Triste à voir, cherche au plus profond de tes souvenir. Ses chaudes larmes aux péril de leurs, glissaient le long de sa joue, ses doigts caressaient, essuyaient les perles. Les flammes ardents, servent de mur avec son ami de solitude. Triste à voir, une femme en détresse, séparant le chevalier de sa princesse, un mur d'enfer. Quelque chose de triste à voir. Ô No-no-no... Les contes de fées n'existe pas.

Triste à voir
Une femme en pleur
Triste à voir
Une femme en détresse

Les ténèbres semblaient avoir effacé sa mémoire...
Viles manipulateur
Les ténèbres semblaient avoir effacé sa mémoire...
Ils ont fabriqués sa fin

Femme retrouver toi...
Au plus profond de toi
Transforme ce mur ardent
En un bouclier de foi

Ô No-no-no...

Triste à voir une femme en pleur...

Wasaki dégaina son sabre, sa longue lame s'imprégna de son chakra. Il tenait son sabre droit vers les flammes ardentes, et donna un coup pour trancher le feu en deux. Ce mur incandescent fut scellé ensuite en le sabre du samouraï.

Quelque instant plus tard, Kaguya se trouvait dans l'un des bras de Wasaki, le gauche. Elle semblait dormir, elle n'avait seulement que d'un peu d'amour sincère... Une véritable voix...

Elle avait juste à se retrouver...