- Mais..., une petite toux s’emparant de la blesser. Où suis-je ?
La vision d'Hakima brouiller par la luminosité rendait difficile de voir le lieu où elle était allongé. À ses yeux, elle se trouvait dans un brouillard complet. Une fine silhouette se formais peu à peu à côté d'elle. La parole qu'elle prit retenti dans le tête d'Hakima comme une écho dans une caverne. Une terrible douleur résonna entre ses oreilles.
- Vous êtes à l'hôpital de Suna, votre village, disait la voie. Vous vous en souvenez ?
- Je peux être perdu, mais je connais tout de même mon village.
- C'est bien, un bon début. Savez-vous que ça fais maintenant cinq jours que vous êtes couché sur ce lis ?
Elle ne préférait pas pensé au nombre de journée qu'elle fut dans le coma, sa ne contait pas. Le plus important, c'est qu'elle se soit réveillé. Les yeux d'Hakima s'habituèrent à la lumière ambiante. L'infirmière était jeune, les cheveux roux. Une chevelure de flamme dirait-on. Le vent venant de la fenêtre les poussa au-dessus de son épaule comme des flammes poussées par la bourrasque d'un vent violant. Ses pupilles étaient d'un verte éclatant. Le nez fin, les lèvres pincées lui donnait un air d'innocence.
La chambre d'hôpital était dès plus normal. Un lit dur comme de la pierre qui faisait souffrir les patients de terribles maux de dos. Les infirmières le savaient-elle ? Le lit était au centre du mur au fond de la salle. Deux petites tables de chevets en bois l'entouraient. Sur lui de droite, un jolie vase beige fait de pierre abritait un bouquet de fleurs fraîches. Il fut certainement changé le matin même. Les fleurs était simple, blanches et vides de sens. Les murs bleues poudres n'étaient pas la meilleur couleur aux yeux Hakima. Il ne fallait surtout pas oublier ces lumières éblouissantes fixées sur le plafond. Ils étaient exactement quatre et tous ne soulageaient pas le mal de tête d'Hakima.
- Éteignez donc les lumières et fermez ces rideaux, dit Hakima en se couvrant le visage de son oreiller. Ils me donne un satané mal de tête.
La fenêtre qui laissait pénétrer la lumière du soleil n'aidait pas non plus au mal de tête de la blessée. La lumière pénétrait directement dans la pièce de l'hôpital. En plus de ses rayons lumineux, la chaleur du soleil était insupportable. Si il y avait une extrême chaleur, c'était bien dans le vaste désert du pays de vent. Hakima connaissait aucune autre endroit où trouver une température aussi élevé. L'air ambiant était sec et aride dans ce désert.
- Nous ne pouvons pas, Hakima Ishizake, dit l'infirmière.
- Pourriez-vous avoir l'obligeance de parler moi fort, j'ai un mal de tête. Je vous l'ai dis.
Hakima entreprit de se le relever, "si elle ne peut pas le faire, je vais fermer les lumières et les rideaux moi même" pensa-t-elle. Elle mis son bras tremblant sur le bord du lis, mais l'infirmière était déjà au près de sa patiente pour l’empêcher de se lever debout.
- Vous ne pouvez pas vous lever Hakima, vous en avez l'interdiction, dit l'infirmière qui ne baissa toujours pas le son de sa voie.
Au fond de la salle, pendant qu'Hakima se débattait pour se relever avec une infirmière sur elle, un son résonna. Une mystérieux son gravé dans sa mémoire. Elle avait déjà attendu ce petit toussotement, mais où? L'infirmière se remis vite en place, elle s'excusa au près du nouveau venu puis partie rapidement avec ses documents. Comme la voie de l’infirmière, le son de la porte fut douloureux pour la tête d'Hakima.
- Tu pourrais au minimum faire attention à la porte, cria Hakima. Et ramène moi de l'eau.
Se ne fut pas la meilleur de ses idées, de crier à une personne qui n'était déjà plus là. Sa propre voie lui empira son mal de tête. Elle se remis sous son oreiller pour mettre en sourdine les sons et atténuer la lumière. La raison principal était pour ne plus voir cet inconnu mystérieux qui n'était pas si inconnu, car elle l'avait déjà vu autrefois.
La personne au fond de la salle commença à parlé
Mar 6 Mai - 22:48