Raconte avec le samouraï

Cette jeune femme était bien têtu. Comme s'il allait tout dire pourquoi il l'avait tué. Alors que maintenant Wasaki marchait, ses pas au sol froid, avançaient. Son sabre était appuyé à l'appui bras du fauteuil. Son regard croisa celui de la jeune femme tenant son chat. Kurohana était une menace pour le monde et rien d'autre, il troublait la paix.

- C'est simple, jeune, nous avons mis fin à ses jours pour le bien de ce monde. Ce genre de charogne pollue l'atmosphère et la paix. Ce " Kurohana" menaçait le monde il était dangereux et risquait de déclencher des guerres. Si j'avais eu le choix, Je l'aurais épargné. Mais coeur à ses raisons je l'ai fais pour la continuité de la paix dans ce monde.

Wasaki posa sa main sur l'épaule de cette femme, soit inconnue. Il était derrière elle. Rien ne l'empêchait de lui briser le cou, voir trancher sa gorge, cette femme avait bien été avec ce Kurohana. Menaçait-elle la paix elle aussi ? Ça c'était avait qu'elle dit de vouloir rejoindre les samouraïs.

- Si ce n'est que pour cela, avant tu devra répondre de tes actes. J'ai pire que la prison pour toi.

Wasaki voyait maintenant la marque tigré sur le bras de cette femme. Même que peu couvert, il savait maintenant pourquoi elle n'avait pas froid dans une tel température extrême. Elle était  l'hôte du démon chat dénommé Nibi, de Nekomata -> Matatabi. Ça chaleur l'empêchait de gelé sur place, l'empêchant de devenir sculptures de glace. Il marchait autour d'elle en voyant cette marque, le sceau faible. Il déplaça le derrière de sa robe voyant ses fesses nues. Ensuite, il trancha la partie avant de sa robe pour y dévoiler son magnifique antre intime. Mais que de mauvaise nouvelles. Il s'arrêta un peu plus loin devant elle. Dos à elle, il se retourna pour faire face à cette femme chat.  Il ne souriait pas, ses traits de visage était neutre.

- Je suis navré, femme, c'est hors de mes pouvoirs. Je suis un samouraï, pas un chamane. Je ne peux rien faire. Aucun de mes hommes d'ailleurs. Si tu cherchais de l'aide pour ton sceaux, tu pogne à la mauvaise porte. Je n'y connais rien en sceau. De plus que je ne m'intéresse pas à votre art ninjas.

C'était désolant de l'annoncer ainsi, mais c'était la vérité. Wasaki ne peut pas crier au miracle pour tout à coup sceller à nouveau son sceau. Il n'y pouvait rien. On ne peut sauver une personne condamnée. Le jugement fut prononcé. Pouvait-elle échapper à son triste destin ? Que le créateur l'aide pour ses péchés. Son coeur avait tomber entre les mains d'un vile manipulateur. Il s'approcha de cette femme au cheveux noir et bleu. Wasaki posa sa main à sur son épaule découvert. Ô coeur battant de vie.

- J'ai peut-être quelqu'un pour toi. Il ne vit pas ici, mais dans un coin reculé, voir perdue.. Avec de la détermination tu peux peut-être t'y rendre pour renforcer ton sceau. Si tu revient en vie, nous te laisserons une autre chance. Il y a pire que la prison. Si tu es vraiment une criminelle, travailler pour nous devrait te puer au nez.

Que même mignonne, Wasaki ne pouvait se permettre de la quitter la base. Que même paperasse divers et entraînement avec ses confrères le retenait dans la pyramide de pierre grise. Il était chef, il ne pouvait les laisser. C'était malheureusement, mais la triste réalité, la vérité choc, les mensonges font pleurer. Tel est la triste réalité de la nature de la communication. Il ne se voyait pas quitter sa base, là où il avait vécu toute sa vie. Il ne se voyait pas marcher dans un cimetière remplis de samouraï décédés suite à une seconde attaque. Il marchait jusqu'à son étendard, où que son épée reposait. Wasaki prit son sabre de samouraï. Il ne pouvait voyager avec elle... Ce n'était pas ses affaires, ce n'était pas son épreuve... Que même, il aurait voulu bien l'aider, mais la destinée avait donc décidé ainsi. C'était la voix tracée par la ligne du temps même.

Sa main se posa sur l'épaule découvert de cette femme disant être la Jinchuuriki de Nekomata, le chat de La Mort : le chat des Shinigamis. Sa main glissait à son bras jusqu'à sa manche qui était séparé de sa robe. Puis sa main revint à aux côté du jeune chef de l'armée samouraï. Aussi navré qu'il était, il ne devait pas montrer d'émotions, mais croyait à la rédemption de cette femme chat. Il reculait d'un pas tenant son sabre.

- Je suis navré, ma belle, mais je dois rester ici. Tel est mon devoir, ma position de chef m'oublige à rester dans la base à entraîner mes hommes. Ils sont mes frères et soeurs, je ne peux en aucun cas les laissés seul en cas d'attaque.

Tu pris un cours moment de pose pour reprendre son souffle. Les autres gardes surveillaient la jeune femme chat au cas où elle tenterait de s'en prendre au jeune chef.

- Tu es la réceptacle de Nekomata, c'est ton devoir. Pas le mien, étant neutre, nous les samouraï et notre crédo. On apprend à savoir ce qui est nos affaire ou pas, quand on peut intervenir ou non. C'est ton épreuve, pas la mienne. Si je venais avec toi je te mentirais, je mentirais à moi même et à mes frères. Maintenant Va - et reviens ici seulement si tu as réussi cette épreuve...

Qu'elle voulait être son ami ou pas, qu'elle colle sa poitrine ou pas. Le résultat resterait le même. Qu'il était le juge ou non, qu'elle était innocente ou non. C'était facile de dire les mots « Je vais changer, j'ai ouvert les yeux » le mal était fait, les ténèbres avait pénétré la lumière de ce lieux. Maintenant fallait agir et non laisser cette souffrance aux samouraïs. La Mort se prenaient pour le juge, alors qu''aucun pouvoir ne lui était accordée. Elle pensait que ce serait aussi facile, mais Wasaki n'était pas dupe, il avait été entrainé toute sa vie pour ne pas être trompé. Même si son sabre était au sol, ses yeux perçant comme une lame fixait la jeune femme chat. Sa tête était à peine tourné en sa direction, il la regardait du coin de l'oeil.

- J'ai toujours mon sabre, car je suis toujours prêt. Je suis un samouraï, ce cette n'est pas qu'un sabre, mais mon âme en même temps. Perdre mon sabre équivaut à perdre mon âme. Je l'ai depuis que je suis tout petit, c'est l'héritage de ma famille. Elle m'a choisi alors que je suis le cadet.

Wasaki reprit son sabre qui était au sol, par la même occasion il se libérait de l'emprise de cette femme. Il savait ce qu'elle tentait de faire : l'envoûté, pour qu'il puisse réaliser tout ses sombre désir. Tel était le pouvoir de Nekomata et de la réceptacle. Sabre dans son fourreau en main, il s'avançait vers les escaliers devant sa place assignée. Cette place pouvait être un trône alors que c'était seulement un bureau. Wasaki s'arrêta devant avant de se retourner vers cette femme.

- Kaguya! C'est ta mission! C'est ton devoir en tant qu'hôte. Je ne veux pas entendre dire que tu n'es pas assez forte! Je veux entendre les rugissement de ton coeur et voir la détermination de ton âme. Montre à Nekomata qu'elle n'est qu'un chat et que toi une tigresse! Je ne veux plus entendre dire que tu ne peux pas la contrôler! Tu peux! Je veux l'entendre de tes mots. Je veux t'entendre dire que tu es toi même et que c'est ton destin et non celui de cet saleté de chat. Tu vaux plus qu'elle, et tu vaux plus que ces Nukenins! Ta mère... ne serait pas fière... Je le sais

Finir-il en serrant les poings...